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Ce qui vous intéresse ou captive ou séduit sur ce sujet.
Quel(s) intérêt(s) ce sujet suscite-t-il pour vous, et qui justifie qu'on le développe ensemble ?
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Le constat que le sujet de la pérennité des données et applications est sous- voire pas considéré malgré son caractère stratégique. Réfléchir à d'autres manières de penser le Cloud j'ai fondé exægis pour répondre à cet objectif : sécuriser les risques liés à la défaillances des entreprises du clous. A l'origine réservée pour les bailleurs, nous l'étendons aux grands comptes.
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Concept(s) à introduire.
Il peut être nécessaire ou utile d’introduire des définitions précises. N’hésitez pas à nous dire si ce sujet nous y oblige selon vous.
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Les 'petits' acteurs du Cloud, les revendeurs, les intermédiaires... Tout cet écosystème autour du Cloud qui fait apparaitre une multitude d'acteurs à la solidité financière parfois douteuse. +1 pour expliquer comment se présentent les offres cloud, et sur quelles infrastructures matérielles et financières elles reposent.
Je pense qu'il faut aussi définir ce qu'est une sauvegarde. Trop de TPE et PME sont persuadées de faire une sauvegarde quand elles stockent les données sur un support externe, ou même lorsqu'elle réplique "Mes Documents" sur un disque externe. Vécu chez des clients qui ont dû payé des sommes astronomiques pour récupérer leurs "sauvegardes".
Il est aussi capital de faire la différence entre l'hébergeur classique, qui abrite une application classique dont il n'est pas l'éditeur, et l'hébergeur cloud, qui permet la redondance des applications tierces et/ou celle de ses propres applications. (avec même des nuances à apporter à cette phrase) La différence dans la gestion de l'infrastructure et des applications implique une différence dans l'organisation de la pérennité du système d'information. Peut-on faire confiance aux contrat de SLA que l'on signe ? En ce qui concerne exægis nous distinguons la défaillance provisoire (non atteinte d'un niveau de SLA) de la défaillance définitive (procédure collective) |
Le plus important : les questions. À vous de choisir.
Donnez-nous 5 questions ni plus ni moins qu’il est nécessaire de poser dans le contexte de ce sujet : des questions que l’animateur doit reprendre selon vous et poser aux intervenants, vous y compris si nécessaire. Pensez… « poil à gratter » quand vous y réfléchissez svp !
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- comment analyser une offre cloud en terme de fiabilité financière du ou des prestataires ?
- Cloud grand public : est-il raisonnable d'adopter une telle offre pour des pro ou risque-t-on un nouvel Megaupload ?
- est-il possible de s'assurer contre un tel risque ?
- existe-t-il un équivalent du 'backup' pour une entreprise choisissant le Cloud ? - N'est-on pas finalement plus en danger dans le cloud que chez soi ? - Peut-on faire confiance à des entreprises qui ne sont pas sur le territoire national ? - Et pourquoi pas un Lehman Brothers du cloud ? - Ne devrions-nous pas attendre un cloud français monté par des acteurs historiques ? - Les directions générales sont-elles suffisamment cultivées sur ces sujets ? - Quelles différences conceptuelles entre le Cloud des années 2010+ et les mainframes des années 70/80 ? - En cas de dommages irréparables pour le client (perte des données / du service) qui est responsable ? - Les dangers en matière de sécurité informatique sont-ils plus élevés dans le Cloud ou non ? Vupen à récemment expliqué comment s'échapper d'une machine virtuelle pour prendre le contrôle de l'hyperviseur, quels scénarios ce genre de menace implique ? - Faut-il choisir entre haute-disponibilité et résilience ?
- disparation de la propriété intellectuelles - perte des données - comment maintenir une exploitation |
Leviers de discussion.
Quelles sont selon vous les idées force qui nous permettront de rebondir, de corser le sujet, d'approfondir, de susciter l'attention de l'audience ? Allez, ce n’est pas la Star Ac mais quand même : aidez-nous à définir ce qui peut créer un peu d’attrait pour l’audience de pros à laquelle nous nous adressons.
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De quelle façon les DSI anticipent un tel risque dans leurs projets Cloud ?
Comment sensibiliser les autres fonction de l'entreprise (hors DSI) aux risques associés au Cloud ? Pour faire de l'audience, restons dans le poil à gratter et ne donnons pas trop dans la finesse : - Et si les entreprises déléguaient totalement la gestion des applications et des données à leurs salariés ? - La DSI est-elle encore le bon acteur et interlocuteur ? - L'avenir ne consiste-t-il pas à stocker les données de l'entreprise dans l'ADN de ses salariés pour en avoir une sauvegarde multi-sites permanentes ? - Comment se fait-il qu'on prend des semaines à prendre la décision d'abonner 100 utilisateurs à un service qui coûte 3 €/utilisateur/mois, et qu'on ignore autant le sujet de la sauvegarde ? Quelles solutions sont disponibles Moyens et méthodes, best practices |
À qui s’adresse-t-on ?
Quand on aborde ce sujet : on doit se demander pour qui il sera utile, et si possible vraiment utile de nous écouter ! On appelle ça le public cible parfois ;-)
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Fonctions de l'entreprises concernées par le Cloud, que cela soit pour sa mise en œuvre (DSI) ou comme utilisateur. Parmi les utilisateurs, on dit que les directions Marketing seront, avant 5 ans, les plus gros donneurs d'ordre du cloud, devant les DSI. Pensons également aux DG, DAF et Directeurs de production. En réalité tous les membres des comités de direction. C'est stratégique, ça coûte très cher quand on se trompe : le CoDir doit avoir une compréhension du sujet. Les DSI, les DG Les financiers (internes, fonds, investisseurs, bailleurs) les sous traitants |
Chiffres, background.
Avez-vous sur ce sujet, si c’est pertinent, des chiffres révélateurs, des études pertinentes, une histoire à raconter, une image à montrer : quoi que ce soit qui puisse nous servir à planter le décor ? Si oui lesquels ?
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J'ai un chiffre qui peut faire beaucoup d'effet en introduction. Il faut que je vérifie si je peux communiquer dessus. Pareil. J'ai eu trois cas l'an derniers qui concernaient en cumulé pa loin de 7000 users en France. je vérifie la possibilité de les nommer |
Mises en garde ?
Ce n’est pas forcément utile, mais il se peut qu’un sujet doive être d’emblée canalisé. Autrement dit : comment cadrer ce sujet pour éviter qu’il ne parte dans une mauvaise direction ?
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Ce sujet peut très vite déraper sur tout ce qui concerne la sécurité, thème à mon avis beaucoup trop vague/vaste pour ne pas être canalisé. Même avis, il faut rester concentrer sur la disparition du prestataire |
Risque ?
Y a-t-il un risque quelconque : de malentendu, d’incomplétude, de polémique. Un sujet peut parfois en cacher un autre, ou peut même déranger, sait-on jamais. C’est le moment de le dire avant de se faire des ennemis ou d’exciter une quelconque Cassandre.
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Thèse.
Qu'est-ce qui constitue à l’échelle de votre sujet d'expertisela thèse « dominante », ou du moins celle qui semble s’imposer de prime abord ?
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La thèse dominante, à mon avis, consiste à faire confiance aux acteurs historiques, les vieux de la vieille. Or ce n'est peut-être pas un choix aussi raisonnable qu'il y paraît. - Confondre haute-disponibilité et résilience |
Antithèse.
Qu’est-ce qui dans ce sujet peut constituer un levier de discussion ? Où se trouve le point adversatif qu’il nous est nécessaire d’opposer à la thèse ci-dessus pour que l’enjeu du sujet soit mieux défini et mis en lumière.
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Wow, "point adversatif". Je crains de ne pas être à la hauteur sémantique du débat. :-)
L'innovation ne vient jamais des acteurs historiques. Or nous vivons une époque d'innovations fortes. |
Foutaise(s).
Thèse, Antithèse et Foutaises ! Pour se moquer un peu de l’approche scolaire il est bon de rappeler où sont les éventuelles pires bêtises qu’on pourrait dire sur ce sujet, et les (éventuels ?) paradoxes qu’il peut se révéler utile de rappeler : essayons de provoquer et surprendre pour sortir de la logique binaire, notamment du pour et du contre.
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Paradoxe : plus on professionnalise son IT, plus on prend de risques. Bêtise et/ou paradoxe : sans le numérique, nous serions plus productif tout en prenant moins de risques. Paradoxe et/ou bêtise : on veut s'assurer la disponibilité des données sur des années alors que nos rythmes business sont souvent de quelques mois. |
Poncifs.
Et d’ailleurs, si vous intervenez parfois auprès d’autres professionnels sur ce thème : quelles sont les pires foutaises, ou les pires poncifs ou idées reçues que vous entendez parfois et dont vous aimeriez qu’on arrête de vous bassiner avec ?
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Et si Google, Amazon ou OVH disparaissent, je fais comment ? - On ne fait pas le backup du backup (autrement dit : le fournisseur fait son propre backup, pas besoin d'un autre) |
Votre contribution.
Bottom line, quels sont les messages que vous souhaitez faire passer sur ce sujet. Vos meilleurs arguments. Ce que vous espérez que l’on retienne de votre position sur ce thème et qui justifie que vous fassiez le déplacement pardi !
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1) Il est aujourd'hui possible, et plus simple qu'auparavant, de s'organiser pour moins voire ne pas souffrir d'un événement comme celui arrivé à 2e2. 2) Plus vite on ira, plus vite on résoud les problèmes actuels de l'entreprise, on augmente sa productivité et on détecte de nouvelles valeurs ajoutées. 3) Ce qui en fait un sujet stratégique. |
Légitimité.
Sur quels thèmes professionnels récurrents, en prise directe avec ce sujet, prenez-vous le plus souvent la parole dans les médias sociaux ? (Indiquez-nous où !)
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Intervenant régulier dans un média social qui s'appelle les réunions de clubs de dirigeants d'entreprise (environ 100 clubs rencontrés en 4 ans). |
Matière à penser.
Vous arrive-t-il, sur ce sujet, d’avoir lu des propos un peu provocateurs, ou de les avoir vous-mêmes écrits ou proférés ? C’est le moment d’éveiller l’empêcheur de tourner en rond qui sommeille en vous s’il n’est pas déjà sur le pont. Vous pouvez faire bouger ce débat, voire l’écosystème qui l’entour, en nous montrant votre côté rebelle ou en citant d’autres rebelles.
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Mes messages principaux étaient provocateurs il y a 2 à 5 ans. Ils le sont moins aujourd'hui même s'ils restent largement ignorés : lorsque l'ignorant entend le message, il est très vite convaincu. |
Suggestion de speakers
Qui d’autre aimeriez-vous voir intervenir sur un sujet comme celui-là ? Qui peut polémiquer face à qui ? Vos idées nous intéressent : non, malgré les apparences nous ne connaissons pas tout le monde...
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Fabrice Epelboin ;-)
Un avocat du cabinet Alain Bensoussan. Ayant eu à gérer 3 défaillances en 2013, je me propose également comme speaker. |
Une bonne manière de conclure ?
Chut, ne le répétez à personne… Mais nous ne sommes pas supposés savoir à l’avance comment se termine un sujet de débat… mais on a le droit de le souhaiter ‼ Selon, vous, quelle serait la bonne conclusion vers laquelle il serait souhaitable d’orienter le débat : disons, celle qui vous ravirait le plus ? Attention, ça ne veut pas dire qu’il ira dans ce sens, mais si vous avez une « envie » en la matière, ou un objectif, c’est toujours bon de le savoir ne serait-ce que pour comparer.
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Des solutions existent |