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Un récent édito de François Cardinal dans CyberPresse.ca , posait le débat en ces termes : «Tout comme un crayon ne permet pas d’apprendre à écrire, un branchement à Internet ne permet pas d’apprendre à s’en servir de façon intelligente.»   2 milliards d'internautes, 600 millions de comptes Facebook. Le monde change. A tel point, et si vite, que ses systèmes éducatifs se heurtent à un paradoxe, que résumait assez bien la percutante vidéo " Did you know " qui avait fait le tour du Web : « Nous préparons actuellement des étudiants à des métiers qui n’existent pas encore… pour leur permettre de résoudre des problèmes dont nous n’avons encore aucune notion. » Face à cet enjeu, une conviction partagée aujourd'hui par nombre de professionnels de l'éducation et de l'information, que nous évoquions lors d'un précédent plateau ( Faut-il une école de l'Internet ? ), mais encore sujet à débat pour d'autres : au-delà de bagages de connaissances et d'apprentissages métier, la nécessité pour nos jeunes de posséder une véritable culture informationnelle, et la capacité "d'apprendre à apprendre".    Compétence informationnelle, culture informationnelle, littératie, digital literacy, information literacy, transliteracy... les vocables sont nombreux : que recouvrent-ils ? En quoi s'intègrent-ils aux stratégies éducatives d'aujourd'hui, et à celles de demain ? PROJET DE TALKSHOW : SPEAKERS, POSTULEZ :-) Professionnels et experts, vos insights sont les très bienvenus : Venez prendre la parole sur ce sujet dont l'enregistrement aura bientôt lieu. Comment participer : Pour coproduire ce sujet avec nous, intervenir comme speaker / expert, infléchir le conducteur en exprimant vos convictions sur le sujet, ou susciter un traitement selon vos interrogations, tout d'abord cliquez sur le bouton figurant dans la vignette du présent sujet sur le cette page :    POSTULER POUR PARTICIPER    puis indiquez un maximum de réponses dans l'onglet de la présente page, intitulé :       "Aidez-nous à préparer ce sujet"    C'est la meilleure manière de faire connaître et positionner votre expertise tout en vous assurant que les points à vos yeux importants ne seront pas oubliés dans le conducteur du talk. Mode d'emploi et plus de détails ci-dessous.
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Misc infos
Location : Dans les studios de Webcastory
Preparation notes
Help us to
prepare this subject!
Speakers (3)
AUDIENCE
Our collaborative
approach
 
 
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Format : Talkshow
Treatment : Debate
 
Speakers :
Fabrice Frossard, Editialis TechtocTV Balises.info Gisi In...
Directeur adjoint de la rédaction Editialis - Intervenant...
Frédéric Bascuñana, SmartNomad - Strategic consulting
Parrhésiaste, maïeuticien, propagateur des transformation...

Un récent édito de François Cardinal dans CyberPresse.ca, posait le débat en ces termes :

«Tout comme un crayon ne permet pas d’apprendre à écrire, un branchement à Internet ne permet pas d’apprendre à s’en servir de façon intelligente.»

 2 milliards d'internautes, 600 millions de comptes Facebook. Le monde change. A tel point, et si vite, que ses systèmes éducatifs se heurtent à un paradoxe, que résumait assez bien la percutante vidéo "Did you know" qui avait fait le tour du Web : « Nous préparons actuellement des étudiants à des métiers qui n’existent pas encore… pour leur permettre de résoudre des problèmes dont nous n’avons encore aucune notion. »

Face à cet enjeu, une conviction partagée aujourd'hui par nombre de professionnels de l'éducation et de l'information, que nous évoquions lors d'un précédent plateau (Faut-il une école de l'Internet ?), mais encore sujet à débat pour d'autres : au-delà de bagages de connaissances et d'apprentissages métier, la nécessité pour nos jeunes de posséder une véritable culture informationnelle, et la capacité "d'apprendre à apprendre".   

Compétence informationnelle, culture informationnelle, littératie, digital literacy, information literacy, transliteracy... les vocables sont nombreux : que recouvrent-ils ? En quoi s'intègrent-ils aux stratégies éducatives d'aujourd'hui, et à celles de demain ?

PROJET DE TALKSHOW :
SPEAKERS, POSTULEZ :-)


Professionnels et experts, vos insights sont les très bienvenus :

Venez prendre la parole sur ce sujet dont l'enregistrement aura bientôt lieu.

Comment participer :
Pour coproduire ce sujet avec nous, intervenir comme speaker / expert, infléchir le conducteur en exprimant vos convictions sur le sujet, ou susciter un traitement selon vos interrogations, tout d'abord cliquez sur le bouton figurant dans la vignette du présent sujet sur le cette page :

   POSTULER POUR PARTICIPER   

puis indiquez un maximum de réponses dans l'onglet de la présente page, intitulé : 

    "Aidez-nous à préparer ce sujet"   

C'est la meilleure manière de faire connaître et positionner votre expertise tout en vous assurant que les points à vos yeux importants ne seront pas oubliés dans le conducteur du talk.

  • Mode d'emploi et plus de détails ci-dessous.
Keywords:  Digital Literacy
Related expertises:  Compétence informationnelle
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Connected subjects:
  • Comment from Fabrice Frossard: Apprendre à apprendre...L'approche critique de l'information recouvre de nombreuses matières, de l'épistémologie à la sémiologie. La compétence informationnelle passe par une véritable prise de recul sur l''information souvent incompatible avec le temps réel de l'internet. face à cette accélération du temps de l'information l'école, la fac, l'université, devra résoudre cette aporie d'un traitement rapide et pertinent de l'information par tout un chacun alors que le flux s'accroît exponentiellement. Apprendre aussi à élaborer une stratégie d'adaptation face aux nouveaux savoirs et techniques. Vaste programme. Comment from : Très vaste ! Un schéma que j'ai trouvé intéressant, qui figure dans un mémoire "la littératie numérique au Canada" publié par le réseau Media Awareness Comment from Marc Tirel: trouve ce sujet : Excellent !ce sujet est très pertinent il touche tout les publics y compris une majorité des soit disant "digital Natives" et génération Y ... La priorité est à mon sens sur le corps enseignant actuel dans son ensemble encore très frileux ... Comment from Christophe DESHAYES: Se focaliser sur les compétences informationnelles à l'heure de Facebook, Linkedin, Foursquare et autre Tumblr n'est-il pas un peu "décalé" ?La majorité des usages du numérique concerne aujourd'hui la communication pas l'information (c'est d'ailleurs me semble-t-il l'un des messages les plus percutant de "did you know"). N'y aurait-il pas un paradoxe à essayer de comprendre le monde de demain avec les grilles d'analyse d'hier ? La digital literacy est un sujet passionnant. Les compétences informationnelles sont un autre sujet passionnant. C'est l'association des deux qui est très très réducteur, voire biaisé. Y-a-il une raison à ce biais ? auquel cas il vaudrait mieux l'afficher. Comment from : @Christophe, oui tu as raison. Le sujet propose déjà de simplement poser les fondamentaux en définissant et différenciant ces différents concepts, précisément pour en sortir l'essence. Est-ce que tu vois un titre plus approprié ? On pourrait le changer. Quoi qu'il en soit, on a parlé "culture numérique" lors d'un précédent plateau. Et comme la grille d'analyse a effectivement à évoluer, ce qui semble important est d'éclairer précisément la palette, disons, de ces "aptitudes de demain". Je pense notamment (d'autres sujets st en cours de préparation) aux enjeux relationnels, collaboratifs, comportementaux, de créativité, etc. Mais peut-être faut-il, déjà dans un 1er temps, qu'on se donne les moyens de dépasser l'équation [culture numérique = usage des outils => pas besoin de l'enseigner car les digital natives savent déjà faire] ?   Comment from Christine Vaufrey: Dans le système scolaire, les B2I (brevets informatique et Internet) ont justement pour but de valider les compétences numériques de base des élèves de tous âges. Ensuite, pendant les études supérieures, les C2I prennent le relai. Et il y a aussi des certifications pour les adultes. Le problème, c'est que la plupart de ces certifications sont accordées sans véritable motivation de la part des enseignants (il y a bien sur des exceptions, des gens qui font un travail formidable), et les jeunes repartent à peine mieux "alphabétisés numériquement" qu'ils ne l'étaient avant... Il y a un problème d'appropriation de ces certifications, que nombre de pays nous envient pu prennent pour modèle afin de créer les leurs... Comment from Christophe DESHAYES: @Corinne, je comprends bien sûr et j'adhère pleinement à la nécessité de dépasser "ton" équation pour deux raisons :- Si les générations y et z sont à l'aise (sans appréhension) avec ces outils et ceux qui émergent tous les jours et développent une dextérité certaine sur une partie des fonctionnalités, il est très abusif de prétendre qu'ils maîtrisent les outils...!- Le numérique ne se résume pas à un ensemble d'outils plus ou moins puissants. Le numérique transforme notre rapport à la culture (information, littérature, spectacle...) à l'autre (virtualité, communication médiée par la technologie...) à l'action citoyenne voire politique... Bref savoir envoyer un sms n'assure ni une compétence, ni une bonne intégration dans la société ni une bonne employabilité.Le terme de Digital Literacy est très anglo-saxon (pas facile à appréhender en français) et déjà daté chez eux. Il a en effet beaucoup été utilisé par les lobby des vendeurs de technologies.Faut-il le maintenir ? (je crois que c'est possible mais ce serait bien de le re-situer dans son contexte pour mieux s'en distancier et appréhender notre contexte français) Pourquoi (si je comprend bien l'angle) ne pas interpeller sur les compétences en générales (ne pas préciser informationnelles que je trouve trop centré google et pas assez facebook, youtube...) pour être un citoyen intégré.Cela donnerait par exemple un truc dans le genre (attention ce n'est qu'une réflexion rapide à haute voix rien d'autre) :Digital Literacy : quelles compétences pour s'épanouir dans la société numérique ? Dans ce projet de titre on peut aussi remplacer s'épanouir par... réussir, s'intégrer, survivre... Question de sensibilité ou de provocation. Comment from Christophe DESHAYES: C'est très juste, il y a déjà beaucoup de choses à l'école. C'est très bien et tout simplement indispensable de le rappeler.Mais Le B2I ainsi que le C2I sont très centrés sur la technicité, une notion indispensable mais terriblement insuffisante. On comprend du coup pourquoi les profs pas très à l'aise avec la technique évitent le sujet alors qu'ils pourraient avoir des choses à dire sur la politesse numérique, la réflexion sur les nouveaux médias... (à titre d'exemple et à chacun selon ses capacités non techniques) Comment from : @Christophe, tu as raison, j'ai modifié le titre en ce sens là. J'ai hésité à "survivre, s'intégrer, et même s'épanouir", mais j'en suis restée aux 2 derniers, plus positifs ! ;) Ca te paraît un bon reflet ?   Comment from Christine Vaufrey: ... pas très technique tout de même les B2I et C2I, beaucoup de choses sur les usages, au grand dam d'ailleurs des tenants de l'apprentissage de l'informatique comme nouvelle discipline scolaire ! Les élèves attendent beaucoup des enseignants sur les usages et rien sur la technique. Voir notamment cet article : http://www.cursus.edu/?module=document&uid=71878&type=1. Mais c'est bien l'esprit critique et la démarche réflexive qui sont au coeur des compétences numériques, comme à peu près dans toutes les matières, non ? ... Comment from Christophe DESHAYES: S'intégrer, s'épanouir dans une société suppose de disposer des clés de compréhension du fonctionnement de ladite société. S'assurer que la totalité (ou presque) des membres de cette société dispose d'un minimum de clés est un gage d'harmonie et de viabilité de cette société.La société moderne se caractérise notamment par l'omniprésence de la technique, un phénomène très ancien. Le numérique n'est qu'une continuation/accélération de ce phénomène.Le langage et surtout l'écriture sont des technologies. La maitrise de ces technologies est d'autant plus essentielle qu'elle dépasse la maîtrise d'un outil pour entrer dans une autre dimension : la manière de se représenter le monde, d'échanger ses représentations avec autrui etc.L'enjeu de l'alphabétisation est ici résumé. Il en va de même de l'alphabétisation numérique (digital literacy).Il y a donc deux dimensions :- la maîtrise de la technologie. Mieux vaudrait-il dire d'ailleurs des technologies du numérique (pas seulement l'information automatisée (informatique) mais aussi les réseaux et communication à distance (télécoms) et l'audiovisuel et le multimédia) --> La dextérité de certains jeunes pas tous, ne concerne que certains aspects de certaines de ces technologies !- la compréhension du monde tel qu'on se le représente à un moment donné (fonctionnement des institutions, principes juridiques, modèles économiques, archétypes culturels...). L'enjeu est ici de gagner en autonomie (empowerment) en tant que citoyen, agent économique (consommation, travail...), individu... --> Tous les citoyens (et tous les enseignants) même ceux qui ne se sentent pas doués pour les technologies devraient avoir une contribution sur une partie de ces éléments. A ce titre il est inquiétant qu'un nombre trop peu important de citoyens s'intéresse à des questions aussi essentielles que celle des droits d'auteur (cf. Hadopi), de la télésurveillance, du filtrage du net (loppsi)... Donner aux jeunes générations les clés de la société de demain suppose que l'on connaisse et comprenne la société d'aujourd'hui et son évolution (une hypothèse lourde). Comprend-on vraiment les enjeux de la numérisation du monde ?Bref l'enjeu de la digital literacy est celui de la citoyenneté numérique dont les codes sociaux, économiques, politiques... seraient partagés par le plus grand nombre. Un enjeu très éloigné des préoccupations très utilitaristes et mercantiles des promoteurs anglosaxons du concept de digital literacy. De quoi développer une voie française ? Comment from Christine Vaufrey: Oui Christophe, je suis bien d'accord avec vous. Mais disons que tels qu'énoncées, ces problématiques rempliraient aisément le programme de philo de terminale. :-)La question est alors : quel est le bagage minimal, accessible à tous et exigible de tous, qui donne à chacun les clés ou les fondamentaux permettant d'aller ensuite plus loin ? L'objectif final étant de développer l'autonomie dans l'apprentissage tout au long de la vie sur / avec les TIC, plutôt que de fournir un "pack" complet qui serait inévitablement obsolète avant d'être assimilé... C'est d'ailleurs le problème auquel se heure le B2I, qui en est déjà à sa 3e version... Comment from Christophe DESHAYES: Oui bien sûr on peut avoir cette impression à la lecture de mon propos (programme de philo de terminale) mais outre le fait que cela montre que l'on peut parler du numérique dans tous les cours y compris en philo (ce qui ne serait pas rien comme apport pour la digital literacy ?) cela peut être extrêmement concret par exemple :On nous bassine avec le travail collaboratif qui serait permis par le numérique sans expliquer pourquoi, comment, quelles limites etc. Or, il existe un domaine qui passionne les jeunes depuis toujours (la musique) et qui reflète toutes ces questions. Par exemple, expliquer mai 68 sans expliquer les musiques de l'époque pourrait tourner court, n'est-ce pas ? Que sont les musiques électroniques sinon des musiques composées à partir d'emprunts divers :- boucles (extraits plus ou moins génériques) - sample (extrait d'un nmorceau existant)-...sur lequel des textes plus ou moins originaux.empruntés sont associés ou non.Les questions de propriété intellectuelle, de droit moral, d'accord préalable, de paiement vs gratuité, d'esthétique, d'originalité, de droit d'auteur collectif voire successif peuvent être illustrées de manière parlante faisant écho à des centres d'intérêt et renvoyant au droit, à l'économie, à la culture... bref les clés de compréhension du monde. Comment from Christine Vaufrey: Loin de moi l'idée de moquer les cours de philo de terminale, bien au contraire, je pense même que ce sont les plus utiles des trois années de lycée, et qui osent afficher qu'ils ont l'ambition d'aider les élèves à construire leur raisonnement ! C'est pour cela que la littératie numérique y figurerait de plein droit. Non, ma réserve sur votre programme venait de son ampleur... Faut-il imposer à tous un programme de littératie numérique de cette ampleur ? Chacun doit être maître de ses propres apprentissages, à partir du moment où on l'a aidé à acquérir les outils intellectuels indispensables. Comment from Patrick ZIMBARDO: trouve ce sujet : Excellent !enjeu pour une culture informationnelle (communicationnelle @Christophe) ... pour apprendre à apprendre, il devient (à partir de nos systèmes actuels) nécessaire de désapprendre pour réapprendre ... Comment from Christine Vaufrey: @patrick : votre terme "désapprendre" me fait penser à la série web "la déséducation" réalisée au Québec : http://ladeseducation.ca/ Mais les Technos y sont complètement absentes... Comment from Patrick ZIMBARDO: @Christine - je ne connaissais pas http://ladeseducation.ca - je viens de voir et c'est très intéressant comme approche - j'en retiens en synthèse "Le sous-développement de notre potentiel".Pour revenir au terme de "désapprendre" il faut le remettre dans le processus "désapprendre pour réapprendre" et bien dans le système éducatif. Comment from Christophe DESHAYES: Voici encore un petit exemple de la culture numérique qui n'est pas seulement une habileté à manipuler un outil ni à traiter une info et qui pose la question de la citoyenneté numérique.Info à lire dans Wired :Les adolescents permettent à leurs parents de les surveiller mais parlent selon un code ambivalent que les parents interprètent de travers... Commentaire :De quoi se demander s'il vaut mieux former : les enfants (ou citoyens enfants) ou les parents (ou autorités un peu trop supérieures) ?A lire sur www.revolutionnairesdunumerique.com Comment from Christophe DESHAYES: Oh loin de moi l'idée d'imposer quoi que ce soit à qui que ce soit et encore moins à tous. Mais si on imagine réfléchir ou participer à la réflexion sur cette question sans ouvrir large la réflexion, nous pourrions nous condamner à réciter quelques propos déjà entendus 1000 fois et qui n'ont rien changé. Une fois de plus cette question est débattue depuis plus de 10 ans dans les milieux politiques et éducatifs anglo-saxons et comme vous le savez depuis plusieurs années au sein même de l'éducation nationale française (et oui) à défaut de l'être chez nos politiques.Que voulons-nous apporter au débat ? Si c'est un peu d'ampleur, j'assume et je suppose que vous seriez d'accord.Evidemment il ne s'agit pas raconter tout cela aux mômes en cours d'éducation citoyenne et aux nouveaux médias, ni même en cours de philo.